La pièce de théâtre française, “Le Prénom”, débute ce vendredi 1er septembre avec un rôle spécial au profit de la Residencia Manos Arrugadas (Résidence Mains Ridées) à Saint-Domingue.
La productrice du théâtre Atrévete présentera pour la première fois la pièce “Le Prénom” lors d’un gala, ce vendredi 1er septembre à 20h30, à la salle Ravelo du Théâtre National à Saint-Domingue (République Dominicaine), au profit de la Résidence Manos Arrugadas, une oeuvre sociale que développe la productrice de théâtre Gianni Paulino pour améliorer la qualité de vie de milliers de personnes âgées dans le pays.
La pièce de théâtre plusieurs fois récompensée est interprétée par José Roberto Díaz García (Vincent), Gianni Paulino (Élisabeth), Richard Douglas (Pierre), Élizabeth Chahin (Anna) et Pepe Sierra (Claude).
“Le Prénom” met l’accent sur Vincent, un entrepreneur immobilier arrogant qui va être père pour la première fois et qui est invité à dîner dans l’appartement parisien d’Élisabeth et Pierre, sa soeur et son beau-frère, qu’ils partagent avec un ami de la famille à la sexualité douteuse pour les autres.
Entre-temps, arrive la femme enceinte, Anna. Celui-ci révèle le prénom du bébé qui va naître ce qui entraîne des intrigues, des reproches, des secrets, des sarcasmes et les rires du public qui appréciera une comédie dramatique sans précédent dans le pays.
“Le choix d’un prénom pour toute la vie, qu’il soit déterminé par la vie des saints, les goûts et les préférences de nos parents, leurs croyances religieuses, les personnes que l’on admire, les artistes ou les personnalités de la mode, les noms des proches, met en évidence des préjugés, des idéologies, la culture, des intolérances, que nous portons toute la vie, c’est pour cela que le thème de la pièce est si universel”, a expliqué le productrice.
Gianni Paulino, productrice et actrice de la pièce, nous déclare : “le public pourra voir une mise en scène hyper réaliste, authentique et honnête, et il pourra sentir de la simplicité dans un montage compliqué où nous avons soigné les détails afin qu‘il se voie, il se sente et s’apprécie comme si nous faisions partie d’une réalité qui pourrait nous toucher tous”.
La pièce, écrite par Alexandre de la Patellière et Matthieu Delaporte, est une version de Fernando Masllorens et Fedérico González Del Pino. Elle restera à l’affiche tout au long du mois de septembre, du jeudi au samedi à 20h30 et le dimanche à 18h30.